L’orage tourne et gronde. Il est aussi dans mon cœur. Il n’explosera pas à la face du monde, Car mes pensées sont toujours ailleurs.
Je voulais te cacher mes pleurs, Mais tu le sentais au fond de ton cœur. Je ne peux dissimuler, Cette peur, de te voir me quitter.
Je ne crains pas la mort ; Juste peur de rester sans toi, Avec ce sempiternel remord, De n’avoir pu profiter de toi.
Dans cette ville nichée au bout du monde L’orage tourne et gronde ; Rencontre de deux cœurs, Qui ont toujours cru au bonheur.
Guislaine